lundi 8 février 2010

Avant de repartir....

Villefranche-sur-Mer hier, encore tranquille avant l'arrivée de la foule...
Que faire, que dire, que montrer, qu'écrire ? De trop nombreuses informations s'entassent dans ma mémoire et mon agenda. Il faudrait choisir entre l'article intéressant et surprenant qui indiquerait que peut-être le tremblement de terre d'Haïti ne serait pas fortuit, et même... éventuellement provoqué. Pure science-fiction, ou volonté délibérée des Etats-Unis d'intervenir et d'instaurer une suprématie, je vous laisse juge de ces informations. A découvrir ici.
Et le sel ? Bien sûr, quand on dit sel, je pense à Gandhi, la grande marche du sel dans le Gujarat pour s'opposer aux Anglais. Mais maintenant il y a autre chose, nous mangeons trop de sel, le savez-vous ? Déjà pour le sucre on en a fait tout un fromage, alors pour le sel ? Mangeons, sans sucre, sans sel, sans viande, sans beurre, et sans thon rouge, et pour des Lyonnais vivant dans la capitale de la gastronomie mondiale (oui, oui, n'exagérons rien), où va-t-on ? Controns quand même les industriels qui veulent nous faire avaler du sel pour nous faire boire davantage et mangeons ce qui nous fait envie en toute modération bien sûr !
Et ce week-end j'ai découvert un petit village, tranquille en hiver, à ne pas fréquenter en été, St Paul de Vence... petites ruelles pavées, vieilles bâtisses, oeuvres d'art disséminées un peu partout, pas un chat... pas un ? ah, si celui-ci :J'ai aimé la statue de Folon, le nez en l'air pour s'envoler vers l'avenir peu radieux d'une planète en danger et le baiser dans le vent d'Etienne, ce que je vous fais avant de partir pour... devinez ? oui, l'Inde ! vous avez gagné encore une photo du village, celle du cimetière, avec vue imprenable sur les collines... Etonnant comme les cimetières sont bien situés en terme de promotion immobilière... vous imaginez, des beaux immeubles, là, à la place des tombes, avec des lofts à plus de 8500 euros le m2 ? (oui, c'est le prix que j'ai vu hier sur une pancarte !)Je me demande comment aucun promoteur n'a encore demandé à déménager les morts...

Aucun commentaire: