Ah ! Paris ! la capitale ! et bien je la trouve splendide, superbe, magnifique... cela faisait bien longtemps que je n'avais humé l'odeur du métro parisien ; surprise ! l'odeur a changé ! et maintenant cela sent presque bon, même lorsqu'on passe aux heures de pointe et dans les stations pieuvre comme le Châtelet ou Montparnasse. Un bon point donc. Toujours autant de pubs sur les murs des stations, mais certaines sont faites avec humour pour l'éducation du citoyen désinvolte, fraudeur ou grossier. Deuxième bon point. Quant à être efficace, le contrôleur l'est certainement davantage. Mais je ne résiste pas à vous offrir ces petites merveilles de créativité !
Découverte de l'exposition "L'aventure des Stein, Matisse, Cezanne, Picasso..." jusqu'au 16 janvier 2012 au Grand Palais. J'aurais aimé être invitée un samedi soir chez les Stein, à découvrir leurs murs tapissés de tableaux parfois au parfum de scandale. Leo, le frère de Gertrude, achètait les tableaux refusés par le public, qui découvre Matisse et Picasso, le fauvisme, le début du cubisme... Magnifique flair de cette famille qui a su soutenir les artistes, devenir leurs amis. Et régal pour nous que d'admirer de près ces oeuvres marquantes. De près, il faut vraiment le vouloir car la foule est là. Mais en règle générale, entre gens bien élevés, on trouve toujours un petit espace pour s'abreuver de la beauté offerte.
Petit tour à l'Orangerie pour Monet bien sûr, les Nymphéas, personne ne s'en lasse... les bleus, les mauves, les petites touches parcimonieuses de rouge et de vert, la rêverie délicate des nuages se mirant dans l'eau, le bonheur quoi !
Et puis, surprise, une exposition temporaire flamboyante, on entendrait presque les castagnettes,
Découverte de l'exposition "L'aventure des Stein, Matisse, Cezanne, Picasso..." jusqu'au 16 janvier 2012 au Grand Palais. J'aurais aimé être invitée un samedi soir chez les Stein, à découvrir leurs murs tapissés de tableaux parfois au parfum de scandale. Leo, le frère de Gertrude, achètait les tableaux refusés par le public, qui découvre Matisse et Picasso, le fauvisme, le début du cubisme... Magnifique flair de cette famille qui a su soutenir les artistes, devenir leurs amis. Et régal pour nous que d'admirer de près ces oeuvres marquantes. De près, il faut vraiment le vouloir car la foule est là. Mais en règle générale, entre gens bien élevés, on trouve toujours un petit espace pour s'abreuver de la beauté offerte.
Petit tour à l'Orangerie pour Monet bien sûr, les Nymphéas, personne ne s'en lasse... les bleus, les mauves, les petites touches parcimonieuses de rouge et de vert, la rêverie délicate des nuages se mirant dans l'eau, le bonheur quoi !
Les Nymphéas de Monet à l'Orangerie |
Et puis, surprise, une exposition temporaire flamboyante, on entendrait presque les castagnettes,
L'Espagne entre deux siècles, de Zuloaga à Picasso (1890-1920) du 7 octobre 2011 au 9 janvier 2012.
Une petite merveille... J'ai craqué devant ce portrait "Granadina" bien mis en lumière. Des peintres qui m'étaient totalement inconnus, avec des réminiscences de Cézanne avouées, de Matisse et d'autres contemporains car tout ce monde se retrouvait bien sûr souvent à Paris. Belle découverte !
Hermen Anglada Camarasa, Granadina© MNAC, Barcelona / © ADAGP, Paris 201
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Pour changer des expositions, petit tour au temple de Ganesh à côté du métro La Chapelle. C'était le dernier jour des navaratris, célébrés durant les neuf jours suivant la nouvelle lune de septembre-octobre.
Le temple de Ganesh, un petit coin du Tamil Nadu dans la capitale ! |
Grande puja à la déesse Durga célébrant sa victoire sur le démon Mahisasura. Une heure d'encens, de mantras en tamil, d'arati (offrande du feu) aux différents dieux, de bonheur de se retrouver dans "l'indian atmosphere" !
l'offrande du feu aux représentations des "neuf planètes" |
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