Une semaine de rencontres amicales, chaleureuses, de paysages superbes, d'émotions intenses. Une semaine de randonnées tranquilles dans la vallée du Guir, pas très loin de Boudenib, à marcher de ksar en oasis, à regarder la cueillette des olives, à participer à la vie de familles marocaines si merveilleusement accueillantes.
Rencontres avec des associations, les Amis de la Terre-Boudenib, avec qui nous avons eu un délicieux repas au milieu d'une oasis ! Chorouk, pour la promotion de la femme et la protection de l'enfant, créée par de jeunes femmes courageuses.Et puis les collines et les falaises ocres, les palmiers dans les oasis, avec Saïd grimpant pour nous cueillir des dattes,
Entrée du ksar de Boudenib pour la (petite) partie tenant encore debout.
L'association "La Burle" proposait une randonnée de reconnaissance dans une partie sauvage et où aucun touriste n'a encore mis les pieds. Le double "plus", l'accompagnement de Jean-Marie Simon "allumeur d'histoires" connaissant parfaitement la région et qui nous régalait le soir venu, autour du "fourneau" où chantait la bouilloire, d'histoires de vie marocaine, de Saïd, son "fils de coeur" qui s'occupait de la logistique dans les familles où nous étions hébergés. L'implication de la population locale, à savoir une famille élargie, étant essentielle dans la réussite du projet.Notre hébergement dans l'oasis de Kadoussa, avec les taxis qui nous ont amené.
L'hébergement à mille étoiles, celles du ciel noir profond du désert... mais le froid de décembre dans le désert nous faisait préférer le salon familial où, après avoir dégusté des tas de brioches, de crêpes, de beignets faits maison pour l'heure du thé, puis le plat de riz aux légumes ou le délicieux couscous parfumé du soir, nous nous enfouissions dans nos duvets de montagne. La salle de bains était le hammam du quartier ou celui de la maison quand il y en avait un.Rencontres avec des associations, les Amis de la Terre-Boudenib, avec qui nous avons eu un délicieux repas au milieu d'une oasis ! Chorouk, pour la promotion de la femme et la protection de l'enfant, créée par de jeunes femmes courageuses.Et puis les collines et les falaises ocres, les palmiers dans les oasis, avec Saïd grimpant pour nous cueillir des dattes,
le vert des oliviers et les chants des ramasseurs d'olives, le braiment des ânes sur notre passage,Au coucher du soleil, retour de l'âne chargé d'olives dans l'oued à sec.
la visite des ksour (pluriel de ksar), ces villages fortifiés en pisé, avec des rues couvertes pour se protéger de la chaleur,Jeu d'ombre et de lumière dans une rue couverte d'un ksar.
Entrée du ksar de Boudenib pour la (petite) partie tenant encore debout.
la plupart de ceux de la région de Boudenib étant détruits par la terrible inondation du 10 octobre 2008 qui a ravagé la région ou laissés à l'abandon, faute de moyens pour les consolider et les maintenir en état. Le ksar de Boudenib détruit par l'inondation du 10 octobre 2008, où une vague de 8 mètres de haut venant de l'eau tombée de l'Atlas s'est abattue sur la ville.
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