Nous quittons la Lettonie par le train jusqu'à Valga la frontière, puis un autre train dans la foulée, estonien celui-ci, juste sur le quai en face, pour Tartu. Cette fois aucun contrôle pour passer en Estonie.
Paldies (merci) la Lettonie pour les belles forêts, 44 % du territoire, ses 2256 lacs, l'architecture parfois un peu folle des villes, que ce soit les immeubles Art Nouveau de Riga, les masures de Bauska, le château de Pilsrundale ou ceux abandonnés de Sigulda.Dans la ville moderne, un bel immeuble Art Nouveau à Riga.
Les vieilles maisons traditionnelles en bois de Bauska commencent à tomber en ruines.
Le superbe palais de Pilsrundale près de Bauska, entièrement rénové.
Le château abandonné de Krimulda dans le parc national de la Gauja "la Suisse lettone", près de Sigulda. On y accède par des sentiers et des escaliers à travers la forêt, pour les piétons, et gare aux moustiques...
J'ai un peu moins aimé d'avoir à déchiffrer le letton, le lituanien ou l'estonien, au mieux le russe pour apprécier les beautés touristiques ou les informations dans les circuits nature... Visiblement un effort reste à faire si ce petit pays veut s'intégrer dans l'Europe et, je rajouterai suite à quelque commentaire obligeant, que nous devons aussi faire quelques efforts pour apprendre les langues étrangères... Mais quand on est dans un pays où on ne sait pas quelle langue on entend : estonien, letton, lituanien, russe, polonais, finnois... il y a de quoi se casser la tête pour en apprendre une !
La population la plus agée nous a fait parfois la tête comme si on venait manger leur pain. Les boulangeries il est vrai regorge de bons pains variés, au sésame, pain noir aux carottes, aux graines de pavot, seigle au cumin et les gâteaux proches de la tradition allemande sont fourrés aux cerises confites, au fromage sucre, au chocolat, à la cannelle...les bons pains de Riga, les prix sont en lats, il faut multiplier par 1.43 pour avoir les euros, ce qui reste pas cher du tout ! On pourra comprendre notre gourmandise quotidienne...
Les jeunes par contre semblent plus ouverts à l'anglais et un peu plus aux étrangers mais ne semblent aucunement curieux. Contrairement aux Indiens (j'ai les réferences que je peux !) qui veulent tout savoir sur vous.
Que ce soit en Lituanie ou en Lettonie, sauf dans les capitales, le touriste des pays du Sud semble encore être une bête curieuse et encore plus des femmes avec un sac à dos...
Le temps en Lettonie a été plutôt chaud et humide, bien des averses dans la journée entrecoupées par des éclats de soleil ou un ciel gris mais jamais froid. Les gens semblent habitués à cette alternative et n'ont souvent même pas de parapluie. Les jeunes filles restent en short et largement décolletées, quel que soit le temps !
Les mots magiques qui éclairent les visages sont comme partout "bonjour" et "merci" dans la langue du pays... à apprendre en passant la frontière. Comme disait ma grand-mère : ça coûte pas cher et ça fait plaisir !
Et nous voila à Tartu en Estonie.En soirée, visite du centre ville, de la place de l'hôtel de ville (édifié en 1789), harmonieuse et qui descend vers la rivière Emajogi. Une statue, célèbre ici : le baiser des étudiants (1998) est devenue l'emblème de cette ville universitaire.
Le clavier estonien est eštonnänt... et ne permet pas grand chose pour les accents... Mais ça y est, j'ai corrigé au retour...
Les vieilles maisons traditionnelles en bois de Bauska commencent à tomber en ruines.
Le superbe palais de Pilsrundale près de Bauska, entièrement rénové.
Le château abandonné de Krimulda dans le parc national de la Gauja "la Suisse lettone", près de Sigulda. On y accède par des sentiers et des escaliers à travers la forêt, pour les piétons, et gare aux moustiques...
J'ai un peu moins aimé d'avoir à déchiffrer le letton, le lituanien ou l'estonien, au mieux le russe pour apprécier les beautés touristiques ou les informations dans les circuits nature... Visiblement un effort reste à faire si ce petit pays veut s'intégrer dans l'Europe et, je rajouterai suite à quelque commentaire obligeant, que nous devons aussi faire quelques efforts pour apprendre les langues étrangères... Mais quand on est dans un pays où on ne sait pas quelle langue on entend : estonien, letton, lituanien, russe, polonais, finnois... il y a de quoi se casser la tête pour en apprendre une !
La population la plus agée nous a fait parfois la tête comme si on venait manger leur pain. Les boulangeries il est vrai regorge de bons pains variés, au sésame, pain noir aux carottes, aux graines de pavot, seigle au cumin et les gâteaux proches de la tradition allemande sont fourrés aux cerises confites, au fromage sucre, au chocolat, à la cannelle...les bons pains de Riga, les prix sont en lats, il faut multiplier par 1.43 pour avoir les euros, ce qui reste pas cher du tout ! On pourra comprendre notre gourmandise quotidienne...
Les jeunes par contre semblent plus ouverts à l'anglais et un peu plus aux étrangers mais ne semblent aucunement curieux. Contrairement aux Indiens (j'ai les réferences que je peux !) qui veulent tout savoir sur vous.
Que ce soit en Lituanie ou en Lettonie, sauf dans les capitales, le touriste des pays du Sud semble encore être une bête curieuse et encore plus des femmes avec un sac à dos...
Le temps en Lettonie a été plutôt chaud et humide, bien des averses dans la journée entrecoupées par des éclats de soleil ou un ciel gris mais jamais froid. Les gens semblent habitués à cette alternative et n'ont souvent même pas de parapluie. Les jeunes filles restent en short et largement décolletées, quel que soit le temps !
Les mots magiques qui éclairent les visages sont comme partout "bonjour" et "merci" dans la langue du pays... à apprendre en passant la frontière. Comme disait ma grand-mère : ça coûte pas cher et ça fait plaisir !
Et nous voila à Tartu en Estonie.En soirée, visite du centre ville, de la place de l'hôtel de ville (édifié en 1789), harmonieuse et qui descend vers la rivière Emajogi. Une statue, célèbre ici : le baiser des étudiants (1998) est devenue l'emblème de cette ville universitaire.
Le clavier estonien est eštonnänt... et ne permet pas grand chose pour les accents... Mais ça y est, j'ai corrigé au retour...
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