Un peu de vacances pour le blog... et au retour le 6 janvier, promis qu'après vous aurez une belle surprise ! Une nouvelle randonnée dans un coin perdu... allez, les paris sont ouverts !
dimanche 23 décembre 2012
samedi 15 décembre 2012
Liberté chérie...
"La société néolibérale est en passe de réussir l’un des coups les plus
fantastiques de son histoire comme de l’histoire de l’humanité :
transformer la liberté en bien économique négociable sur le marché au
même titre que n’importe quel bien. Voulez-vous du travail ? Très bien :
vous avez la chance d’avoir en votre possession quelque chose qui nous
intéresse : votre liberté ; vendez- la nous et le poste est à vous. A
moins que vous ne vouliez mourir librement de faim ? Devant la
nécessité, les résistances sont en train de s’effondrer et de plus en
plus de gens sont en train de céder à la tentation de la servitude
volontaire. Si nous admettons que la liberté est la meilleure part de
l’homme, que nous reste-t-il quand nous avons bradé notre liberté contre
un bout de pain ? Ce qu’il y a de pire en nous : notre animalité.
Pouvons-nous, comme le professeur Fukuyama, faire l’impasse sur ce
tableau idyllique et affirmer que « il n'y a pas meilleur modèle
d'organisation politique que la démocratie libérale » ? En d’autres
termes, devons-nous nous accoutumer à notre asservissement au point de
trouver celui-ci agréable ?"
Je ne peux que vous encourager à poursuivre la lecture de cet article vraiment intéressant et qui s'intitule :
Je ne peux que vous encourager à poursuivre la lecture de cet article vraiment intéressant et qui s'intitule :
Vers un monde de plus en plus libéral : A bas l’esclavage, vive l’asservissement volontaire de masse ! Par Roger KAFFO FOKOU le 8 décembre 2012
ici !samedi 8 décembre 2012
Illuminations du 8 décembre, suite.
Et me revoilà le soir du 8, dans les rames bondées, mais gratuites, du métro lyonnais. Bien plus de monde qu'hier soir et de ce fait, j'essaie d'aller voir ailleurs côté Presqu'île s'il y a moins de monde !
Mais ce que je n'ai vu que de loin et qui passait avec des rugissements de Lyon, pardon de lion et des barissements d'éléphant multicolore avec la queue en petits coeurs, c'est la grande parade entre Bellecour et les Terreaux. Laure a pu en prendre quelques photos et je vous mets celle de l'éléphant :
Mais ce que je n'ai vu que de loin et qui passait avec des rugissements de Lyon, pardon de lion et des barissements d'éléphant multicolore avec la queue en petits coeurs, c'est la grande parade entre Bellecour et les Terreaux. Laure a pu en prendre quelques photos et je vous mets celle de l'éléphant :
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| La sarabande des animaux magnifiques (Atelier de l'Evénement) photo Laure B. |
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| Place Gailleton, 400 ballons qui flottent au gré du vent. C'est sensé être une allégorie sur la transformation de l'eau... je veux bien avoir de l'imagination ! (Collectif Coin et Nohista) |
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| Immersion abyssable sous les voûtes de Perrache ! glou glou sympathique et poissons flottants, on se croit en plein aquarium, l'impression est super ! |
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| Sur les quais du Rhône vers Guillotière, des luminéoles, espèces de méduses célestes qui ondulent au gré du vent (Christophe Martine, Production : porté par le vent) et qui semblent former un étrange ballet. |
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| et celle-ci semble sortir du lotus au bord du fleuve... des brins de poésie à cueillir doucement et à garder jusqu'à l'an prochain ! |
Le 8 décembre à Lyon
Petite introduction du journal La Croix du 6 décembre :
"A Lyon, la fête des lumières révèle des trésors
A l'occasion de cette 14e édition,
90 projets artistiques vont animer 65 lieux parmi les plus
emblématiques de la ville sur quatre soirs, de jeudi à dimanche. Ils
présenteront un parcours urbain "poétique et mystérieux" qui permettra
de "redécouvrir le patrimoine architectural de la ville et de la révéler
sous un autre angle", précisent les organisateurs."
Pour les Lyonnais, cette fête est un incontournable... Ce sont les frissons de petite fille en attendant que les vitrines des magasins du quartier enlèvent leurs papiers journaux collés sur les vitres et qui cachent les merveilles préparées pour ce jour là ! C'est dommage car cette période est révolue, plus personne ne fait cela aujourd'hui ! Je faisais le tour du quartier avec mes parents et mes frères, bien emmitouflée dans mon petit manteau de laine bleu, après avoir posé et allumé nos lumignons sur les rebords de nos deux fenêtres qui donnaient sur une petite cour minuscule. Et c'était l'émerveillement ! Nous poussions parfois jusqu'au centre ville en prenant le vieux tramway (et en ce temps là, personne ne faisait grève) voir les vitrines des Galeries Lafayette où toutes sortes de jouets animés dansaient la sarabande. Tout Lyon était dehors, tout le monde mettait ses bougies sur les fenêtres avec ces beaux verres blancs cannelés qui faisaient danser la flamme.
Ce soir, je mettrai encore mes bougies dans ces verres là, plus que soixantenaires et précieusement conservés. Et j'irai me faire bousculer avec les milliers de touristes pour admirer les animations lumineuses partout dans Lyon. Mais déjà hier soir, j'ai pris un petit acompte, moins de monde, le métro en grève jusqu'à 16 h, l'autre en panne le soir... mais une organisation parfaite pour ne pas se faire trop piétiner, même s'il fallait faire deux cents mètres pour aller chercher la bouche de métro adéquate.
Donc voici quelques premières images, les mêmes que celles de milliers de personnes...
D'abord, arrêt à la cathédrale St Jean, spectacle superbe imaginé par Daniel Fontaine qui met en beauté l'architecture de la cathédrale.
Peut-être de nouvelles photos ce soir s'il ne pleut pas !
"A Lyon, la fête des lumières révèle des trésors
Lyon donne jeudi 6 décembre le coup d'envoi de la Fête des
Lumières, qui s'empare chaque année de la ville pour l'illuminer sous un
autre jour, à coups de spectacles sons et lumières, sous les yeux des
quatre millions de visiteurs attendus de France et de l'étranger
Pour les Lyonnais, cette fête est un incontournable... Ce sont les frissons de petite fille en attendant que les vitrines des magasins du quartier enlèvent leurs papiers journaux collés sur les vitres et qui cachent les merveilles préparées pour ce jour là ! C'est dommage car cette période est révolue, plus personne ne fait cela aujourd'hui ! Je faisais le tour du quartier avec mes parents et mes frères, bien emmitouflée dans mon petit manteau de laine bleu, après avoir posé et allumé nos lumignons sur les rebords de nos deux fenêtres qui donnaient sur une petite cour minuscule. Et c'était l'émerveillement ! Nous poussions parfois jusqu'au centre ville en prenant le vieux tramway (et en ce temps là, personne ne faisait grève) voir les vitrines des Galeries Lafayette où toutes sortes de jouets animés dansaient la sarabande. Tout Lyon était dehors, tout le monde mettait ses bougies sur les fenêtres avec ces beaux verres blancs cannelés qui faisaient danser la flamme.
Ce soir, je mettrai encore mes bougies dans ces verres là, plus que soixantenaires et précieusement conservés. Et j'irai me faire bousculer avec les milliers de touristes pour admirer les animations lumineuses partout dans Lyon. Mais déjà hier soir, j'ai pris un petit acompte, moins de monde, le métro en grève jusqu'à 16 h, l'autre en panne le soir... mais une organisation parfaite pour ne pas se faire trop piétiner, même s'il fallait faire deux cents mètres pour aller chercher la bouche de métro adéquate.
Donc voici quelques premières images, les mêmes que celles de milliers de personnes...
D'abord, arrêt à la cathédrale St Jean, spectacle superbe imaginé par Daniel Fontaine qui met en beauté l'architecture de la cathédrale.
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| spectacle d'enluminures délicates et virtuelles |
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| jeux de lignes et de couleurs psychédéliques |
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| une séquence fantastique avec l'ouverture des portes d'or... |
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| puis passage sur les quais de Saône avec les scénographies lumineuses de Daniel Knipper qui s'appellent "Et si ?". Tableaux de peinture contemporaine revisitée à la manière de Miro, Picasso, Mondrian... |
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| et il y a la possibilité de visionner une quinzaine de "tableaux" différents |
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| Au théâtre des Célestins, les lumières archipicturales de Laurent Langlois : les gestes professionnels du peintre au travail |
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| ça gomme, ça détruit, ça dessine, ça peint sur la façade... impressionnant ! |
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| place des Terreaux, spectacle sur trois façades avec des personnages qui se déplacent le long des murs, c'est Highlights de Skertzo, du rythme et des couleurs ! |
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| dans la cour de l'hôtel de ville, les poupées japonaises portant un cocon lumineux donnent une certaine intimité à ce passage entre Terreaux et Opéra (Kokeshi de soie d'Annelore Parot) |
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| cocons lumineux qui se retrouvent à flotter au pied de la fontaine... |
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| Place de la République, symbolisme des "cônes de Lübeck" qui servent pour les chantiers et qui font chanter les couleurs d'une grande queue de dragon imaginé par le plasticien Bibi |
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| Place Bellecour, la mode est aux économies d'énergie, et il faut pédaler pour éclairer ! |
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| Roman Tyca, grande arche lumineuse rue de la République |
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| Place Louis Pradel, de gros bouquets d'abat-jours projettent leurs couleurs sur les flaques des escaliers (Light In de Tilt) |
Peut-être de nouvelles photos ce soir s'il ne pleut pas !
mercredi 5 décembre 2012
Udaipur, encore quelques images
Je suis en train de faire le tri... et je ne peux m'empêcher d'en remettre une petite couche... pour le plaisir des yeux !
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| en passant devant le marchand de chaussures |
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| au temple de Jagdish, une femme prend de la poudre rouge déposée sur une plaque de marbre avec les pieds sacrés de Vishnu, pour se la poser sur le front |
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| Arrêt repos en haut des marches du temple |
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| l'eau sur l'évier ? pas pour tout de suite ! |
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| et tout prêt, hôtel de luxe au milieu du lac, et parasols neufs |
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| Femmes-ombres musulmanes montant à l'esplanade du palais |
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| réparateur de fauteuil |
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| la dame vient faire son marché ici une fois par semaine |
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| la montée d'escaliers |
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| un petit essai de peinture moderne avec les lumières du lac ! |
mercredi 28 novembre 2012
Tour express à Gurgaon
Petit détail pour les photos : en les regardant sur mon ordinateur j'ai trouvé que les couleurs étaient assez "saturées", donc éventuellement modifiez la luminosité de votre écran !!
Delhi, capitale de l'Inde a une population de 16,7 millions d'habitants au dernier recensement de 2011. A 30 km au sud, dans l'état de l'Haryana, s'étend Gurgaon, la capitale administrative et économique de cet état. Beaucoup de nouvelles entreprises y ont construit leurs sièges car l'aéroport international n'est qu'à 15 km, c'est desservi par une grande autoroute et le métro y arrive du centre de Delhi, ce qui permet toutes les connexions.
Petit village avec ses temples et ses forteresses, Gurgaon est
devenu une ville de plus d'un million six cent mille habitants. La curiosité me
poussant mais ne sachant pas vraiment où aller, j'ai pris le métro jusqu'à son
terminus... Les gens viennent ici pour les centres commerciaux gigantesques et
les cinémas multiplex mais ce n'est pas ce qui m'intéressait particulièrement.
Je suis venue, j’ai vu… des
grandes barres d’immeubles neufs (pas pour longtemps à mon avis), des tours, de
grandes avenues bordées d’arbres, des quartiers de maisons chic où des belles
voitures stationnent devant les portails en fer forgé et où parfois le
somnolent chauffeur attend le maître. Petite pensée pour le roman d’Aravind
Adiga, le Tigre blanc, qui se passe justement ici.
C’est à cause de ce livre passionnant sur la culture indienne et les castes que je suis là… mais aussi parce que j’ai appris qu’ici vingt-cinq mille personnes travaillent dans des centres d’appels téléphoniques pour proposer aux Anglais et Américains avec l’accent convenable assurances-vie ou nouvelle voiture, que Google, Reliance, Panasonic, Mitsubishi y ont plus que de simples bureaux.
Mais sans relations pour m’introduire et sans même savoir
où tout cela pouvait se trouver, (du style «Secteur 18, Upper-Ground 22») après
un petit tour je suis rentrée sur Delhi en m’arrêtant à la station INA pour faire
quelques courses à Delhi Haat. C’est une grande foire artisanale où artisans, coopératives, commerçants peuvent
louer des stands pour une quinzaine de jours et venir présenter à des prix très
intéressants toutes sortes de tissus, écharpes, châles, saris, en laine, soie,
pashmina, des articles de décoration, tapis, statues, de l’alimentation
biologique même, proposée par l’état d’Uttarakhand, de la restauration pour
déguster les spécialités culinaires de toute l’Inde.
Delhi, capitale de l'Inde a une population de 16,7 millions d'habitants au dernier recensement de 2011. A 30 km au sud, dans l'état de l'Haryana, s'étend Gurgaon, la capitale administrative et économique de cet état. Beaucoup de nouvelles entreprises y ont construit leurs sièges car l'aéroport international n'est qu'à 15 km, c'est desservi par une grande autoroute et le métro y arrive du centre de Delhi, ce qui permet toutes les connexions.
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| "ma station de métro habituelle" Ramakrishna Ashram Marg |
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| à l'intérieur des compartiments du métro, au-dessus de chaque porte, le trajet avec les lampes rouges qui s'allument au fur et à mesure de la progression. Ces panneaux sont en hindi comme ici et en anglais |
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| dans le métro des prises pour brancher son ordinateur ou son téléphone ! |
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| les escalators à la station Rajiv Chowk (où je me suis fait encore rappeler qu'il est interdit de photographier dans le métro !) |
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| la station de Huda, le terminus de la ligne |
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| la vue depuis la station de métro |
C’est à cause de ce livre passionnant sur la culture indienne et les castes que je suis là… mais aussi parce que j’ai appris qu’ici vingt-cinq mille personnes travaillent dans des centres d’appels téléphoniques pour proposer aux Anglais et Américains avec l’accent convenable assurances-vie ou nouvelle voiture, que Google, Reliance, Panasonic, Mitsubishi y ont plus que de simples bureaux.
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| L'hôtel Marriott. Désolée Claude pas eu le temps de travailler mon cadrage, l'agent de sécurité m'a sauté dessus pour m'interdire de prendre la photo... mesure de sécurité parait-il, mais pour photographier le logo pas de problème ! |
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| des grandes entreprises mondiales installées ici |
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| il y a certainement d'excellentes machines à café dans les entreprises mais les gens préfèrent le chai de la petite marchande ! |
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| le dhobi : laveur-repasseur est dans les parages aussi. Heureusement les petits métiers bien utiles subsistent. |
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| de même que les petites boutiques dont les pancartes publicitaires sont inversement proportionnelles à leur surface ! |
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| des terrains en friche attendent probablement de faire des plue-values... |
Je me fais draguer à mort par les marchands cachemiris qui sont les plus
redoutables commerçants que je connaisse ! Ils s’imaginent que je ne
résisterais pas à leurs yeux de velours et à leur air de conspirateur en me
disant « je vais vous faire un prix tout à fait spécial ». Mais je
les connais ! Je fais mon petit tour, négocie les achats que j’ai à faire,
petit clin d’œil à ceux que j’ai déjà vus hier… et léger au-revoir sympathique
de la main : «Don't break my heart ! ne me brisez pas le cœur ! » Mais je ne me
fais aucun souci de ce côté, la prochaine touriste fera l'affaire !
dimanche 25 novembre 2012
Dernière promenade photographique
Dimanche matin, cloches de l'arati, mantras à tue-tête, de nombreux pèlerins viennent encore se baigner avant de repartir chez eux. L'eau du lac doit être frisquette quand même à 6 ou 7 heures du matin...
Avant d'aller prendre le train à Ajmer pour revenir sur Delhi, un dernier petit tour....
Avant d'aller prendre le train à Ajmer pour revenir sur Delhi, un dernier petit tour....
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| le marchand de couleurs est installé juste à la sortie de Pushkar, bonne place ! |
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| beaucoup achète une belle brassée de canne à sucre, pour se faire du jus à la maison (?) |
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| les mendiants font toujours partie intégrante du spectacle de la rue |
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| une vue de la rue près de notre hôtel |
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| au hasard des rues... les pèlerins se dirigent vers la gare routière |
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| et le marchand de navets reste impassible... |
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| en parlant de navets... mais j'ai eu du mal à la photographier celle-ci ! toujours en train de bouger, de discuter avec les unes et les autres ! peu coopérative quoi ! |
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| la marchande de tissus, sa boutique, ce sont ses escaliers |
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| la boutique de peintures, un peu babacool |
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| un petit temple coloré pour faire ses dévotions à proximité |
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| le marché aux légumes sur la petite place du "Baba restaurant" notre QG, tenu par une Australienne sympa |
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| et dernier pique-nique avant que tout le monde reprenne la route ! |
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