Dans le quartier des papetiers-imprimeurs (en Inde les boutiques sont la plupart du temps toutes regroupées par corporations ce qui facilite grandement les recherches et les comparaisons pour les achats, sans compter le gain de temps), je me suis longuement arrêtée devant l'étal du marchand de cartes de mariage. Toujours étonnée de la quantité de modèles présentés ou cachés, celui-ci avaient plus de 3500 références ! et comme il n'avait pas de client, il m'a fait asseoire et m'a déniché quelques merveilles dans ses cartes de présentation, qu'il a bien voulu me vendre pour un prix dérisoire. J'avoue que je craque aisément pour ces dorures, ces paillettes sur la trompe de Ganesh, un des meilleurs porte-bonheur pour les mariages, ou des portraits de jeunes mariées timides croûlant sous les bijoux et entourées des dieux de l'Olympe indien. (vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus)
samedi 13 mars 2010
Calcutta en vitesse
Quelques images de Calcutta prises au vol d'un taxi ou en passant devant l'immense piscine dont seul le beau plongeoir bleu laisse deviner l'usage de ce lieu.Les logements, dont on devine la vétusté, ainsi que la décrépitude des façades, laissent imaginer l'insalubrité des lieux.
Dans le quartier des papetiers-imprimeurs (en Inde les boutiques sont la plupart du temps toutes regroupées par corporations ce qui facilite grandement les recherches et les comparaisons pour les achats, sans compter le gain de temps), je me suis longuement arrêtée devant l'étal du marchand de cartes de mariage. Toujours étonnée de la quantité de modèles présentés ou cachés, celui-ci avaient plus de 3500 références ! et comme il n'avait pas de client, il m'a fait asseoire et m'a déniché quelques merveilles dans ses cartes de présentation, qu'il a bien voulu me vendre pour un prix dérisoire. J'avoue que je craque aisément pour ces dorures, ces paillettes sur la trompe de Ganesh, un des meilleurs porte-bonheur pour les mariages, ou des portraits de jeunes mariées timides croûlant sous les bijoux et entourées des dieux de l'Olympe indien. (vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus)
Dans le quartier des papetiers-imprimeurs (en Inde les boutiques sont la plupart du temps toutes regroupées par corporations ce qui facilite grandement les recherches et les comparaisons pour les achats, sans compter le gain de temps), je me suis longuement arrêtée devant l'étal du marchand de cartes de mariage. Toujours étonnée de la quantité de modèles présentés ou cachés, celui-ci avaient plus de 3500 références ! et comme il n'avait pas de client, il m'a fait asseoire et m'a déniché quelques merveilles dans ses cartes de présentation, qu'il a bien voulu me vendre pour un prix dérisoire. J'avoue que je craque aisément pour ces dorures, ces paillettes sur la trompe de Ganesh, un des meilleurs porte-bonheur pour les mariages, ou des portraits de jeunes mariées timides croûlant sous les bijoux et entourées des dieux de l'Olympe indien. (vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus)
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